Le concours de trading organisé par ETORO

Le trading est un secteur très concurrentiel, pour entretenir l’esprit de compétition entre les traders. ETORO organise tous les mois un concours très prestigieux. Tous les utilisateurs de ce broker peuvent participer sans aucun problème. Cependant, il y a des conditions basiques à respecter. Voici donc les critères pour prendre part à cette compétition. On vous donne également le déroulement ainsi que les prix à gagner.

Qui peut faire le concours de trading ?

La compétition est ouverte à toutes les personnes qui possèdent un compte Minichez ETORO. Tous les nouveaux traders désireux de participer à ce concours peuvent ouvrir rapidement un compte Mini pour la modique somme de 50 euros.

Les membres standards de ETORO peuvent également participer à condition qu’ils transfèrent leurs comptes vers un compte Mini. Pour cela, il faut juste remplir un formulaire de transfert.

Ce concours de trading est réservé aux traders français de IQ Option et etoro. Cependant, les clients de XCM LTD et ETORO AUSTRALIE sont également admis à faire cette compétition. ETORO songe en ce moment à étendre ce concours. Pour connaître les dernières informations à ce sujet, vous pourriez suivre les mises à jour du groupe.

Les critères pour participer au concours 

Voici les ensembles des conditions pour être éligible au concours :

  • Disposer d’un compte Mini sur ETORO
  • Avoir un capital compris entre 1 à 20 000 euros
  • Employer le modèle d’exécution Dealing Desk de ETORO tous les débuts de mois
  • Utiliser soit la Trading station de ETORO ou encore la plateforme MT4

Comment se passe le concours ?

Le concours a commencé le 1er novembre 2015, il est repris tous les mois. Le principe est simple, il se base sur le pourcentage des bénéfices mensuels par les traders. En d’autres mots, le gagnant est celui qui a été le plus compétitif.

Cette compétition n’est pas obligatoire, il s’agit d’un moyen trouvé par ETORO de motiver ses traders. D’ailleurs, il est possible pour les participants de se retirer du concours. Pour cela, il suffit d’envoyer un courriel info*etoro.fr et le tour est joué. Un des atouts de cette compétition est sa flexibilité. En outre, si un trader souhaite plus tard réintégrer la compétition, il lui suffit d’envoyer un mail à la même adresse.

ETORO se garde le droit de disqualifier tous les participants qui ne respectent pas les termes ainsi que les conditions du concours. Ainsi, si un trader utilise des tactiques illégales pour amasser des bénéfices. Le Broker pourra exclure le trader délinquant.

Que remportent les vainqueurs ?

Après avoir calculé le pourcentage des gains mensuels, ETORO classe les meilleurs traders du mois. Les cinq premiers recevront une récompense plus ou moins importante. Plus précisément, la première place aura 5 000 dollars, la seconde place quant à elle recevra 2 500 dollars. La troisième place bénéficiera de 1 500 dollars. La quatrième place aura 750 dollars et enfin la cinquième place aura 250 dollars.

Sachez que ETORO procédera à une conversion en fonction de la dénomination du compte. Le taux qui sera utilisé sera par contre déterminé par le broker.

Les courtiers s’associent pour la représentation de leur intérêt

trading

L’industrie du courtage connait des moments difficiles depuis quelque temps et les courtiers ne comptent pas rester sans rien faire. En effet, les courtiers de Forex et d’options binaires se sont associés à des fournisseurs de services pour créer une association sectorielle, laquelle aura pour vocation de normaliser la profession et relancer le secteur. Cette association arrive pile au bon moment, avec les nombreuses mesures prises par les régulateurs européens pour bloquer les courtiers et fournisseurs de services.

 

La fragilisation de l’industrie du courtage

L’association des courtiers du Forex et d’options binaires avec les fournisseurs de services est ce qui pouvait arriver de mieux pour l’industrie du courtage. En grande difficulté depuis quelque temps, le secteur du courtage est victime de plusieurs assauts à savoir la mauvaise publicité et les nombreuses restrictions des régulateurs européens. Les restrictions visent à empêcher les courtiers des produits spéculatifs à risque d’atteindre les clients. D’ailleurs, l’Autorité des Marchés Financiers a proposé l’interdiction des publicités numériques des produits spéculatifs et cela pourrait être adopté très prochainement par le parlement français. Les intermédiaires financiers n’ont plus de temps à perdre !

 

La lutte contre les marchés non réglementés

Les entreprises de courtage et les fournisseurs de service ont décidé de s’unir pour créer une association sectorielle afin de lutter contre les préjugés négatifs et donner une nouvelle identité au secteur. Le climat autour de l’industrie du courtage est dur à vivre, ceci par la faute des intermédiaires financiers non réglementés. Malheureusement, les mesures restrictives que prennent les régulateurs affectent aussi les entreprises qui exercent conformément à la réglementation européenne.

La création de l’Association Française de Courtiers et Prestataires de Services d’Investissement (AFCOPSI) n’a pas suffi pour limiter les préjugés négatifs des régulateurs. Une nouvelle association, dénommée Association des Courtiers Européens (European Brokers Association) (EUBOA), vient en renfort avec une adhésion plus large pouvant inclure 50 fournisseurs de services.

La démarche à suivre

La nouvelle association EUBOA vient pour remédier aux problèmes actuels de l’industrie du courtage et surtout lutter contre l’empressement des régulateurs européens à l’égard des courtiers réglementés. Elle va dans le même temps aider les autorités de régulations à trouver les vrais fautifs, les intermédiaires financiers non réglementés, qui ternissent la réputation du secteur. L’industrie du courtage pourrait retrouver ses moments de gloire si l’EUBOA réussit la mission qu’elle s’est assignée, surtout si elle devient un outil de relation publique au service des courtiers en règle et des clients. Mieux, l’EUBOA pourrait coopérer avec les organismes de réglementation pour trouver des compromis et améliorer les services proposés.

Toutefois, le groupe de courtier aura beaucoup à faire pour retrouver la clémence des autorités de régulation. Qu’il s’en souvienne que le rapport de l’AMF publié en 2016 fait état de plus de 12 000 plaintes déposées par des clients pour des pertes de plusieurs millions.